Printemps pluvieux - Quelques écrits.

The Beatles have rocked my youth.

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L'albatros.

Un albatros plongeant dans un océan d'or,
cherchait vainement à vaincre la mort.

Surgissant du fond des abysses,
la lanterne de tous les vices.

Une simple écrevisse.

Elle nécrosa rapidement le pittoresque volatile.

Une mort futile.

Inutile.

Puérile.

L'albatros. Il n'était,
finalement,
qu'un tas de chair et d'os.

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You lie again,
Try to run away.
This time you can't stay
This time you must stay.
It's time to be affraid.

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Derrière la fenêtre, la pluie coule.
Le goudron humide me renvoie une image sordide.
Moi même.

Et autour, en cercle concentrique, s'étalent mes mensonges.

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Bois tes larmes,
l'eau sacrée des anges.

Ou des démons.

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Un homme ratisse des feuille
en tas dans sa cour, un monceau
appuyé sur son râteau, il
les brûle absolument toutes.
Le parfum emplit la forêt
des enfants s'arrêtent et respirent
l'odeur qui, dans quelques années

deviendra nostalgie.

Jim M.

Le calme du vide
où un garçon en noir
cherche maladroitement la clé.
Elle l'a gardée de son côté de la porte. Sans serrure.

Il est temps de retourner vivre.

Je pense.

Mais laissons lui quelques mots. En espérant qu'elle comprenne.

Mieux que moi.

Merci. Pour cette définition de la vie.